Actualités ETH

Des agrégats semblables à des protéines - appelés amylo?des - peuvent se lier à des molécules du patrimoine génétique. Il est possible que ces deux types de molécules se soient ainsi mutuellement stabilisés lors de l'apparition de la vie - et peut-être même qu'ils aient préparé la voie au code génétique.

Gr?ce à un nouveau modèle, des chercheurs expliquent pourquoi, il y a des millions d'années, davantage d'espèces animales ont réussi à passer de l'Asie au continent australien que l'inverse. Le climat dans lequel les espèces se sont développées a joué un r?le essentiel.

L'urée réagit extrêmement rapidement dans des conditions qui existaient au début de l'ère terrestre. Cette nouvelle découverte contribue à la compréhension de la manière dont la vie a pu appara?tre sur Terre.

Des chercheurs de l'ETH Zurich ont analysé l'épidémie de la souche H7N9 de la grippe aviaire qui s'est produite en Chine entre 2013 et 2017. De nouveaux arbres génétiques permettront à l'avenir de mieux surveiller les épidémies de grippe aviaire.

Comment la vie est-elle apparue sur Terre ? Comment a-t-elle pu se maintenir et se développer ? Les chercheurs de l'ETH sont à la recherche de réponses à ces grandes questions.

Des chercheurs de l'ETH découvrent dans l'eau de mer, à partir de données ADN, non seulement de nouvelles espèces de bactéries, mais aussi des substances naturelles inconnues qui pourraient un jour être utiles.

Des chercheurs montrent comment l'ADN satellite organise les chromosomes dans les cellules. Ils supposent que ces segments d'ADN, considérés jusqu'à présent comme des déchets génétiques, sont l'une des raisons pour lesquelles différentes espèces ne peuvent pas se croiser avec succès.

Des chercheurs de l'ETH Zurich ont reproduit dans une expérience de laboratoire une étape clé de l'histoire de l'évolution des virus : Les chercheurs ont réussi à modifier une protéine naturelle de manière à créer des enveloppes capables de stocker du matériel génétique.

Des chercheurs de l'ETH Zurich et de l'Université de B?le ont mis au point un vaccin qui protège les animaux contre les salmonelles pathogènes. Ces bactéries échappent souvent à l'effet des vaccins en modifiant génétiquement leur manteau protecteur. Les scientifiques ont réussi à manipuler ce processus et à piéger ainsi les bactéries.

L'évolution ne conna?t pas l'immobilisme. Elle se laisse même entra?ner par les perturbations. Comment les chercheurs de l'ETH veulent percer le secret des changements.

Lorsque le pollen se fait rare, les bourdons endommagent les feuilles des plantes à fleurs de manière à ce que celles-ci fleurissent plus rapidement. C'est ce que montre une équipe de recherche de l'ETH dirigée par Consuelo De Moraes et Mark Mescher.

Les bio-ingénieurs développeront bient?t des organismes artificiels qui permettront de nouvelles applications en médecine et dans l'industrie. Beat Christen discute de leurs avantages et de leurs risques.

Une équipe de recherche internationale de l'ETH Zurich et d'universités fran?aises a étudié pour la première fois la diversité génétique des poissons dans le monde. Il en résulte une carte. Elle sert d'instrument important pour mieux protéger la diversité des espèces et la diversité génétique à l'avenir.

Les individus apparentés d'une bactérie du sol qui se réunissent en associations coopératives sont étonnamment divers sur le plan génétique et présentent des comportements variés. C'est ce que rapportent actuellement des chercheurs de l'ETH dans Science.

La vitesse de l'évolution peut être déduite d'une part des fossiles et d'autre part des arbres de parenté - mais souvent avec des résultats divergents. Des chercheurs de l'ETH ont résolu cette contradiction à l'aide d'un nouveau modèle.

Des chercheurs de l'ETH découvrent à un endroit surprenant dans les cellules de levure un nouveau mécanisme par lequel les cellules reconnaissent et rendent inoffensif le matériel génétique étranger - qu'il s'agisse de pathogènes ou de contaminations provenant de l'environnement.

Au début de l'épidémie en Afrique de l'Ouest, le virus Ebola ne s'est pas transformé aussi rapidement qu'on le craignait à l'époque. Des chercheurs de l'ETH expliquent pourquoi la science s'est trompée à l'époque.

Des scientifiques de l'ETH ont pu démontrer dans une expérience qu'une structure protéique très répandue dans la nature - les amylo?des - est en principe capable de se reproduire elle-même. Cela en fait des précurseurs potentiels de molécules considérées comme des éléments constitutifs de la vie.

Des chercheurs ont élucidé comment les vaccins peuvent lutter contre les maladies intestinales bactériennes : Les anticorps intestinaux induits par le vaccin mettent en cha?ne les agents pathogènes qui se propagent dans l'intestin. Cela empêche la maladie et, étonnamment, empêche également la propagation de la résistance aux antibiotiques.

C'est justement la réaction inflammatoire censée repousser les agents pathogènes intestinaux qui les aggrave. La raison en est des virus spéciaux qui intègrent leur patrimoine génétique dans les salmonelles, ce qui renforce encore les agents pathogènes.

L'origine des différences entre les sexes ne dépend pas seulement des parties du patrimoine génétique qui deviennent actives en fonction du sexe. La question se pose également de savoir dans quel sexe de telles modifications ont lieu. C'est ce que montrent des chercheurs de l'ETH à l'aide d'un couple de plantes proches.

A la demande du président de l'EPFZ Lino Guzzella, le Conseil des EPF a nommé une professeure et cinq professeurs à l'ETH Zurich et a décerné un titre de professeur.

Prédit en théorie, désormais prouvé expérimentalement pour la première fois avec des bactéries du sol : Les organismes les plus faibles peuvent s'imposer face aux plus forts - s'ils sont plus nombreux. Il s'agit là d'un mécanisme moteur pour la préservation de la diversité génétique.

Lors de sa séance des 20 et 21 mai 2015, le Conseil des EPF a nommé douze professeurs à l'ETH Zurich, conformément aux demandes du président de l'ETH Zurich, Lino Guzzella.

Les chevaux hennissent à deux fréquences fondamentales différentes et communiquent ainsi non seulement des émotions positives et négatives, mais aussi leur intensité. C'est ce qu'ont découvert des scientifiques de l'ETH Zurich dans le cadre d'un projet de recherche visant à suivre l'évolution de l'expression des émotions. Jusqu'à présent, on ne savait pas que les chevaux hennissaient à deux voix.

Une collaboration de chercheurs sous la direction de l'ETH a élucidé le génome de deux espèces de bourdons importantes sur le plan commercial. Les résultats offrent des perspectives inattendues sur l'écologie et l'évolution des bourdons, mais aussi des abeilles à miel.

Le coco-de-mer ou palmier des Seychelles produit les graines les plus grosses et les plus lourdes de tout le règne végétal. Des écologistes réunis autour du professeur de l'ETH Peter Edwards expliquent pourquoi cette plante fournit un tel effort malgré la pauvreté en nutriments.